Climate-KIC, l'environnement en open innovation

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Le secteur de l’environnement organise de plus en plus des hackatons et des challenges. L’association Climate-KIC s’est, par exemple, positionnée sur ce segment. Elle organise, par exemple, des challenges d’open innovation pour imaginer et lancer rapidement des pratiques nouvelles. Elle a d’ailleurs permis à la ville de Glasgow de trouver une solution à ses crues fréquentes avec l’aide d’une start-up.  SudsBox (Sustainable Urban Drainage System Box) est une solution de récupération d’eau de pluie qui permet à tout à chacun de participer à la réduction du risque d’inondation. Mais cette association ne se limite pas à ça et soutient les nouveaux acteurs de l’environnement pour sauver la planète. Elle possède, entre autres, un programme d’incubation pour des start-up investis contre le changement climatique.

Pourquoi maintenant ?

Comment faire émerger des idées innovantes et répondre aux questions environnementales auxquelles nous sommes confrontés ? Voilà une question que toutes institutions environnementales doivent se poser. Bien que les travaux de recherche soient très nombreux dans ce secteur, l’apport des jeunes entrepreneurs ne doit pas être négligé. Face à la prise de conscience généralisée, les problématiques environnementales sont au coeur des projets entrepreneuriaux. Or, dans ce contexte, des concepts innovants sont mis en place pour favoriser la créativité autour de ce sujet. L’association Climate-KIC fait alors figure de modèle en promouvant l’innovation dans les domaines du climat.

En quoi devez-vous vous sentir concerné par Climate-KIC ?

Faire appel à l’intelligence collective pour résoudre des problèmes majeurs n’est pas encore entré dans les mœurs. Pourtant organiser des challenges et autres hackatons feraient émerger des idées et des projets cruciaux pour l’environnement. Cette démarche d’open innovation, prônée par Climate-KIC, doit être vue comme un prolongement nécessaire à la recherche fondamentale, mais aussi elle doit permettre aux citoyens de reprendre la main sur ce sujet. Il est en effet peu recommandé que l’on soit trop tributaire des projets de la Silicon Valley pour survivre demain sur notre planète.